La terre sent bon la patience de Dieu.
Il faut quatre saisons pour écrire une année.
Aucune ne peut se passer de l’autre :
Aucune ne peut se passer de l’autre :
Il faut la plénitude de l’été, l’incendie de l’automne,
le silence de l’hiver et l’espérance du printemps
pour que la terre porte ses fruits.
Je médite souvent cela en pensant que le cœur de l’homme
est un jardin de Dieu où Il n’en finit pas de jeter sa semence de
vie.
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